
Le 11 juin 2025, au lendemain du meurtre d’une surveillante de collège par un élève de 14 ans, le procureur de la République de Chaumont évoquait un adolescent « en perte de repères quant à la valeur de la vie humaine ». Au-delà de la forte émotion suscitée par cet acte commis par un enfant, une question de fond nous est posée en effet : que devient la « valeur de la vie humaine » dans un régime qui, au quotidien, multiplie les preuves de non respect de cette « valeur », en laissant commettre les massacres (...)